“Je fais de la musique complètement seul maintenant. Ainsi, j’ai beaucoup de conversations internes avec une version imaginaire de moi-même” nous dit Glassio, un habitué du Riptide Mag.

“Lorsque j’ai commencé à travailler sur la production en 2020, j’imaginais ce disque comme la bande-son de gens qui se réapproprient l’optimisme pour l’avenir. Je me suis dit en 2020 que je voulais faire de la musique très optimiste pour l’année suivante. Je voulais que cette chanson soit la rencontre entre Jeff Tweedy et Frankie Knuckles, entre Bruce Springsteen et Cut Copy. C’est vers ça que tendent beaucoup de mes nouvelles chansons. C’est un mariage de ces deux mondes.”

À première vue, la chanson raconte l’histoire d’une personne qui sort dégrisée d’une relation toxique. Celle-ci traverse les longues routes des déserts du Sud-Ouest. Le but ? Trouver cette “Silver City” et trouver refuge dans l’amour qui l’y attend…. un nouveau départ.

Queen Of The Silver City” suit le succès de son premier LP de 2020, For The Very Last Time, qui a été acclamé par The FADER, Consequence of Sound, Exclaim…

Ainsi, sur le plan sonore, l’album est un mélange de berceuse-danse/pop et d’échos hymnal-disco.

La vision de Glassio pour le son de l’album va de l’hypothèse où Neil Young aurait fait un disque électronique sur la lune à celle où Crosby, Stills et Nash auraient pris de l’ecstasy à Ibiza en 1987. D’un point de vue narratif, l’album capture la croissance et la renaissance du caractère d’une personne à partir d’un espace sombre.

En conclusion, il s’agit de se débarrasser de la négativité. Mais aussi de se faire confiance pour aimer à nouveau les autres.